Ingénieurs des méthodes de production, du contrôle qualité
Part de l'Ile-de-France dans l'emploi national
en France
en Ile-de-France
Évolution des effectifs franciliens 2013-2019
Alors que la part de l’industrie dans l’économie francilienne est modérée, un tiers des cadres méthodes et qualité travaillent dans la région.
Une forte croissance malgré le recul de l’industrie
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Les activités et leurs évolutions
Cette famille professionnelle regroupe l’ensemble des ingénieurs et cadres en charge de l’élaboration et la mise en place des process (industrialisation, méthodes), de la chaîne logistique ("supply chain") et de la qualité.
Des professionnels de l’organisation de la production industriellePositionnement des métiersSource : Pôle emploi, répertoire ROMECes cadres et ingénieurs sont spécialisés dans la mise en place et l’organisation des procédures nécessaires à la production. Les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité sont très largement majoritaires (plus de 9 actifs de la FAP sur 10) : ils définissent et mettent en œuvre les procédures de contrôle qualité. Ces missions permettent d’assurer la conformité de la production aux normes nationales et internationales et aux exigences du cahier des charges.
Les ingénieurs et cadres des méthodes de production sont bien moins nombreux (moins de 10% de la FAP en 2018, soit près de 3 000 actifs). Ils mettent en place les procédés de production dans une optique d’optimisation de celle-ci.
L’ensemble de ces professionnels interviennent en amont de la production afin d’élaborer des protocoles et procédures et de les tester. Durant la phase de production, ils devront également proposer des solutions techniques dans une optique de correction ou d’amélioration continue. En aval de celle-ci, ils doivent s’assurer de la conformité de la production.
Ces professionnels, souvent encadrant d’équipes, ont des perspectives de mobilité dans leur champ d’expertise (électricité, matériaux, mécanique, etc.) dans d’autres fonctions d’ingénierie (conception, production), dans l’enseignement, la formation, la recherche ou le conseil. Ils peuvent également évoluer vers la direction de services (qualité, laboratoire d’analyse, industrialisation) ou d’entreprises industrielles.
Des missions d’élaboration de procédésCes professionnels mettent en place des procédés d’industrialisation et des procédures qualités
- Etudier la faisabilité du projet et les moyens nécessaires
- Proposer des solutions techniques
- Rédiger un cahier des charges
- Réaliser des tests
- Construire des indicateurs d’activité
- Animer une équipe et la former au respect des normes et suivi des indicateurs
- Répartir l’activité au sein des équipes
Mais aussi de suivi dans une logique d’amélioration continue et de contrôleTout au long de la production et en aval de celle-ci, ils interviennent également pour s’assurer de son bon déroulé et proposer des corrections et améliorations
- Contrôler le suivi des procédés et normes
- Analyser les indicateurs et données qualités
- Identifier les dysfonctionnements et axes d’amélioration
- Assurer la gestion des stocks
- Proposer des solutions d’amélioration ou de correction des méthodes ou des procédés qualités
- Travailler en articulation avec les équipes de production
Mais aussi des missions d'encadrement ou de négociationsEn plus des activités décrites, en lien avec leur expertise technique, il est également demandé à ces professionnels d’encadrer des équipes, une connaissance de la gestion de projet mais aussi des capacités commerciales et en négociation avec les clients, sous-traitants et fournisseurs. Ces différents prérequis sont fortement variables selon la taille de la structure d’exercice. La maîtrise de l’anglais est également indispensable tant dans la communication avec des équipes internationales que pour lire ou rédiger des cahiers des charges.
La maîtrise de l’outil informatique est également indispensable : logiciels de gestion de cycle de vie d’un produit (GCVP ou PLM en anglais : « Product Life Management ») de conception ou dessins assisté par ordinateur, des outils de suivi de projet, de gestion des équipes, de budget.
Selon les secteurs d’exercice, ces professions peuvent demander des connaissances spécifiques (sur un procédé, un matériau…).
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Les secteurs concernés
4 actifs sur 10 travaillent dans le commerce ou les activités de conseil et ingénierieTop 5 des secteurs d’activités employeursSources : ACOSS, Centre d’analyse stratégique. Traitement Défi métiersUn cinquième de ces professionnels exercent dans le secteur du commerce. Ces métiers sont recherchés dans les services logistiques et qualité des entreprises du commerce. Ce chiffre étonnant s’explique également en partie par le fait que certaines entreprises ayant une activité de production ont pour activité principale la commercialisation desdits produits. Ainsi, les entreprises du secteur du commerce qui emploient ces ingénieurs qualités et méthodes industrialisent également des produits pharmaceutiques, du matériel informatique et de télécom ou encore des composants électroniques.
Un autre cinquième exerce dans le secteur des services à haute valeur ajoutée, notamment dans l’ingénierie et le conseil aux entreprises industrielles. Ces activités sont en forte croissance au niveau de l’emploi, croissance qui devrait se prolonger.
Un dixième exerce dans le secteur des transports et logistiques, dans des services qualités, probablement à l’interface avec les constructeurs.
L’emploi devrait augmenter dans les années à venir au sein des services à haute valeur ajoutés, offrant des perspectives à ces professionnels. A l'horizon 2030 et au niveau national, le rapport prospectif de la Dares et France Stratégie estime dans son scenario central que les effectifs d'ingénieurs et cadres techniques de l'industrie (dont ces professionnels) devraient voir leurs effectifs actuels croître d'un quart pour pallier les départs en retraite et les besoins liés à des créations nettes d'emploi[1].
[1] Dares, France Stratégie « Les métiers en 2030 », rapport d’étude, 2022, p.86
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Les marchés du travail
Caractéristiques des actifs en emploi
Un essor du nombre de femmes sur ces métiers parmi les jeunes38 463Actifs en
Ile-de-FranceRépartition Homme/Femme (en %)
INSEE, Recensement de la population 2019Répartition des âges (en %)
INSEE, Recensement de la population 2019Alors que les femmes représentent un tiers de ces actifs parmi ceux de 50 ans et plus, elles correspondent à la moitié des jeunes actifs. Les métiers de l’ingénierie sont historiquement largement masculins (ce qui est encore le cas aujourd’hui, près des ¾ des ingénieurs étant des hommes, toutes spécialités confondues). Sur le temps long, la part des femmes parmi les diplômés a augmenté (triplant depuis les années 1970), atteignant plus de 30 % aujourd’hui, même si elle « semble atteindre un palier »[1].
On retrouve dans cette famille professionnelle moins de professionnels de 50 ans et plus que dans la population active francilienne, contrairement aux autres métiers d’ingénieurs techniques de l’industrie. Il est possible qu’en fin de carrière, ces professionnels évoluent ou s’orientent vers d’autres fonctions.
En termes de lieu de résidence, ces professionnels sont surreprésentés à Paris, dans les Yvelines et les Hauts-de-Seine et à l’inverse peu présents en Seine-Saint-Denis, en Seine-et-Marne et dans le Val-d’Oise par rapport à l’ensemble des actifs franciliens. Le fait qu’il s’agit des deux départements franciliens avec le plus d’emploi industriels (96 000 dans le 92 et 76 000 dans les Yvelines en 2015)[2] pourrait expliquer en partie cette surreprésentation. Bien qu’un nombre conséquent de ces professionnels n’est pas salarié dans l’industrie, il peut s’agir notamment de consultants « détachés » dans des entreprises industrielles. Un parallèle peut également être établi entre les lieux de résidence (le 78 et le 92 étant les départements hors Paris les plus chers en moyenne) et le salaire de ces professionnels : en effet, le salaire net médian de la FAP est de 3 650€ en milieu de carrière et 4 930€ parmi les 50 ans et plus.
[1] Observatoire des femmes ingénieurs, chiffres-clefs 2018, p.3
[2] CHEVROT, J. et al, « L’industrie francilienne : des mutations de long terme toujours à l’œuvre », Insee Ile-de-France Analyses n°91, décembre 2018, p.2
Une entrée dans la famille professionnelle se faisant largement à partir du bac +5Niveau de diplômes (en %)
INSEE, Recensement de la population 20199 actifs sur 10 sont titulaires d’un diplôme du supérieur dans cette FAP, part moindre chez les 50 ans et plus (8 sur 10). Un diplôme d’ingénieur est en effet nécessaire pour exercer avec ce titre (de niveau 7). Des formations universitaires en sciences (par exemple des procédés, matériaux) est également une porte d’entrée envisageable. Il est possible d’accéder à un poste de cadre de fabrication et de production via une évolution professionnelle sans avoir de diplôme du supérieur, même si ce cas de figure est rare et tend à s’amoindrir avec la massification du nombre de diplômés du supérieur.
Des actifs à temps plein et presqu’exclusivement en CDIConditions d'emploi
INSEE, Recensement de la population 20195 % 14 %INSEE, Recensement de la population 2019Ces actifs sont très largement en CDI. Les autres formes de contrats sont sous-représentées par rapport à la moyenne francilienne. Ces professionnels n’exercent par ailleurs jamais comme indépendants.
En Ile-de-France, comme au niveau national, le temps partiel concerne une part très faible de ces professionnels. Cela s’explique notamment par l’incompatibilité perçue entre le temps partiel et un travail d’encadrement.
Caractéristiques des demandeurs d’emploi
Une surreprésentation des plus jeunes et des femmes parmi les demandeurs d'emploi2 212Demandeurs d'emploi enregistrés dans cette famille professionnellePart des DE inscrits depuis plus d’un an (en%)DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021Taux d’écoulement53%53%DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021Les jeunes sont surreprésentés parmi les demandeurs d’emploi de cette famille professionnelle, par rapport à l’ensemble des demandeurs d’emploi (d'environ 5 points) et par rapport au poids des jeunes actifs occupés sur ces métiers (d'environ 8 points).
Les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans se positionnent quant à eux peu sur ces métiers.
Les femmes représentent la moitié des demandeurs d’emploi sur ces métiers, une proportion supérieure d’environ 5 points à leur poids parmi les ingénieurs et cadres des méthodes et du contrôle qualité en emploi.
Les jeunes demandeurs d’emploi sont presqu’exclusivement diplômés du supérieur, très largement de niveau 6 (bac +3) ou plus, probablement plutôt d’un bac +5 par ailleurs. Toutes classes d’âge confondues, le constat est sensiblement le même.
La durée moyenne de chômage des sortants est inférieure à la moyenne régionale attestant d’une relative facilité à retrouver un emploi. Ils sont par ailleurs bien moins souvent inscrits depuis plus d’un an. Le taux d’écoulement (part des demandeurs d’emploi qui ne le sont plus l’année suivante) est quant à lui au niveau de la moyenne. Cela peut s’expliquer par le fait que les offres d’emploi sur ces métiers sont relativement peu nombreuses (voir infra).
Les offres d'emploi et projets de recrutement
Des offres d’emploi assez raresDurée des emplois proposés (en %)
1 791DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021Le nombre d’offres d’emploi est faible par rapport au volume de professionnels sur ces métiers. Les demandeurs d’emploi sont environ 20% plus nombreux que les offres. Les projets de recrutement annuels recensés dans l’enquête Besoins en Main-d’œuvre de Pôle emploi sont d'environ 1 000 en 2022, variant selon les années d’un peu moins de 1 000 à 2 000.
Ces volumes sont très faibles en comparaison au nombre d’actifs en emploi de la FAP. Cela s’explique par un taux de rotation très faible : d’après l’enquête Emploi de l’Insee, le taux de rotation en 2014 était plutôt stable par rapport aux années précédentes pour l’ensemble des ingénieurs et cadres techniques de l’industrie, à moins de 10 %. A titre de comparaison, il était de plus de 60 % tous métiers confondus au niveau national[1].
Les postes d’encadrement sont de manière générale moins sujets à un taux de rotation élevé. La part des offres d’une durée de 1 à 6 mois est cependant élevée (un quart des offres). Il est possible que ces professionnels soient davantage sollicités pour des missions ponctuelles par rapport à d’autres métiers dans l’ingénierie sur lesquels ces durées sont moins fréquentes (production, R&D).
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Les enjeux pour la profession et leurs impacts sur les métiers
Des besoins en professionnels très qualifiés, qui augmentent avec les normesEnjeux par dimensionSi l’emploi industriel connaît une forte baisse depuis plusieurs années (-5 % en Ile-de-France entre 2013 et 2018 pour le secteur agrégé de l’industrie d’après l’ACOSS), la désindustrialisation francilienne ne concerne guère les cadres et ingénieurs. En effet, l’activité industrielle francilienne se transforme avec un « amoindrissement des tâches purement productives au profit de tâches d’encadrement, de conception, de recherche »[1], ce qui se traduit par une hausse de la part des cadres dans l’industrie (+ 6 points entre 2008 et 2015) et la croissance de leurs effectifs (+17% d’effectifs pour cette FAP par exemple en 5 ans).
Si la production francilienne recule globalement, les contrôles qualité se retrouvent de plus en plus à toutes les étapes du process de production[2], assurant des perspectives importantes sur ces profils également en dehors des sites de production. Par ailleurs, sur ces derniers, les besoins restent forts en ingénieurs du contrôle-qualité et des méthodes.
Ces professionnels n’exercent pas uniquement dans l’industrie. Pour ceux travaillant dans le commerce, les transports et la logistique, l’intensification des échanges tend à accroître les besoins en professionnels de la supply chain, de la logistique et des méthodes. Dans ces secteurs, la transition écologique devrait contrebalancer cette intensification. Du fait de ce facteur environnemental, les professionnels de la qualité devraient bénéficier de perspectives importantes dans le secteur du commerce.
Pour ces derniers, ces besoins s’expliquent notamment par le développement des normes et réglementations, mais aussi par l’importance stratégique de celles-ci en termes de « retour sur investissement », notamment dans un contexte de concurrence internationale dans lequel l’industrie française et le commerce ont vocation à se démarquer sur la qualité de la production plutôt que sur le segment des prix. C’est cependant la prise d’ampleur des questions environnementales et des réglementations et normes en lien avec celles-ci qui devraient entraîner le plus de besoin sur ces postes, afin de mettre en place ces normes et de déployer leur suivi au sein de chaque entreprise dans les industries, le commerce, les transports.
Les ingénieurs et cadres des méthodes sont également affectés par ces évolutions des normes, et notamment environnementales, afin d’assurer une production en adéquation avec celles-ci, ce qui revêt un enjeu particulier. Sur ces métiers, les besoins seront également conséquents en lien avec le développement progressif de l’industrie du futur (ou « l’usine 4.0 »). Il s’agit d’usines dans lesquelles la production est réalisée via l’interconnexion des machines. Il semblerait que l’essor de ce nouveau mode de production dans l’industrie soit inéluctable[3] bien que son implantation soit encore inégale. Les ingénieurs des méthodes doivent alors intégrer ces nouveaux outils dans les processus, mais aussi programmer les machines en conséquence.
Plus largement que la seule industrie 4.0, c’est l’ensemble des outils numériques qui doit être intégré, pour les professionnels des méthodes comme du contrôle qualité, notamment les progiciels de gestion de la production assistée par ordinateur (GPAO) et de gestion du cycle de vie d’un produit (GCVP ou PLM). Les outils de gestion et de suivi de projets et de traitements statistiques sont également de plus en plus demandés.
Parmi les autres évolutions technologiques à venir, cette fois à plus long terme, la fabrication additive (ou impression 3D) devrait avoir un fort impact. Si actuellement les métiers les plus concernés par cette innovation sont ceux de la R&D et de la conception, la fabrication additive devrait se développer dans la production[4], nécessitant son intégration dans les méthodes de production plus que dans le contrôle qualité.
Ces évolutions entraînent une hausse des qualifications attendues, notamment dans les méthodes où les profils recherchés sont de plus en plus à un niveau cadre / ingénieur pour répondre à la complexification des outils et procédures.
[1] CHEVROT, J. et al, « L’industrie francilienne : des mutations de long terme toujours à l’œuvre », Insee Ile-de-France Analyses n°91, décembre 2018, p.3
[2] Apec, fiche métier Ingénieur qualité
[3] GOUBIN, A., MOUSSET, I., « Diffusion de l’industrie du futur dans les PME des industries métallurgiques franciliennes et compétences nécessaires », Synthèse d’étude, mais 2017, p.3
[4] Apec, « Tendance métiers dans l’industrie : La Fabrication additive », juin 2017, p3
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Les formations
Des formations portées sur le commerce, et la gestion, et diverses spécialités industriellesPart des actifs de la FAP issue des différentes spécialités de formationINSEE, enquête emploi continue (EEC) 2018La spécialité de formation « commerce, vente » est celle que l’on retrouve le plus parmi les actifs de la FAP en emploi depuis moins de 10 ans. 1 jeune actif sur 10 a une formation des spécialités des échanges et de la gestion. La spécialité « énergie, génie climatique » se retrouve dans la même proportion. Il peut paraître étonnant que les deux premières spécialités de formation soient axées sur le tertiaire et non sur l’ingénierie industrielle. Certaines capacités nécessaires sur ces postes (relations et négociations commerciales par exemple) expliquent en partie la présence importante de ces profils.
Une entrée avec un bac+5 universitaire, d’école d’ingénieur ou de commerceL’entrée dans cette famille professionnelle se fait très majoritairement à partir d’un bac +5 dans des formations axées sur la gestion ou le commerce (avec une composante qualité) ou des spécialités de formation des sciences techniques de l’ingénieur. On compte 27 écoles d’ingénieurs en Ile-de-France en 2017, parmi lesquelles l’Ecole Polytechnique, l’école supérieure de physique et de chimie de la ville de Paris (ESPCI Paris), « les Mines » ou encore l’école des ponts Paristech, qui font parties des écoles d’ingénieur les plus prestigieuses au niveau national. Plusieurs universités (Paris-Sud, Pierre et Marie Curie, Villetaneuse) permettent également d’entrer dans cette famille professionnelle à la sortie de la formation. Des écoles de commerce ou spécialisées dans le management proposent également des cursus axés sur la qualité (ou plus largement sur « qualité hygiène sécurité environnement »).
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Sources bibliographiques et de données
Bibliographie- Apec, fiche métier Ingénieur process
- Apec, fiche métier Ingénieur qualité
- Apec, « Tendance métiers dans l’industrie : La Fabrication additive », juin 2017, 12p.
- CHEVROT, Joseph, et al, « L’industrie francilienne : des mutations de long terme toujours à l’œuvre », Insee Ile-de-France Analyses n°91, décembre 2018, 4p.
- Dares, France Stratégie « Les métiers en 2030 », rapport d’étude, 2022, 198p.
- GOUBIN, Agnès, MOUSSET, Itto, « Diffusion de l’industrie du futur dans les PME des industries métallurgiques franciliennes et compétences nécessaires », Synthèse d’étude, mais 2017, 5p.
- Observatoire des femmes ingénieurs, chiffres-clefs 2018, 7p.
- Observatoire des territoires, « L’industrie dans les territoires français, après l’érosion, quel rebond ? », rapport d’étude pour le CGET, 2018, 34p.
- Pôle emploi, CREDOC, Enquêtes Besoins en Main-d'Oeuvre 2013 - 2022