Professionnels de l’animation socioculturelle

Professionnels de l’animation socioculturelle

Part de l'Ile-de-France dans l'emploi national

21 %
173 997
Actifs en emploi
en France
Dont
36 164
Actifs en emploi
en Ile-de-France

Évolution des effectifs franciliens 2013-2019

+8 %

En maison de quartier, centre de loisirs ou en maison de retraite, les professionnels de l’animation socioculturelle veillent à la cohésion des groupes et à l'épanouissement de chacun en proposant des activités variées et adaptées.

« Une profession jeune, féminisée et parfois précaire »

  • Les activités et leurs évolutions

    La famille des professionnels de l’animation socioculturelle comprend deux professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) : les animateurs socioculturels et de loisirs, les directeurs de centres socioculturels et de loisirs. Elle relève également de trois intitulés du ROME (Répertoire opérationnel des métiers et des emplois) : l’animation d’activités culturelles ou ludiques, l’animation de loisirs auprès d’enfants ou d’adolescents, l’intervention socioculturelle.

    Une profession au cœur du développement des relations sociales et de l’autonomie des personnes
    Positionnement des métiers
    Source : Pôle emploi, répertoire ROME​

    Les animateurs socioculturels assurent l’animation des activités culturelles, artistiques ou ludiques, l’animation de loisirs auprès d’enfants d’adolescents, d’adultes ainsi que l’intervention sociale auprès des publics en difficulté passagère ou durable (prévention de la délinquance, réinsertion sociale, etc.). Ils participent aussi à l’encadrement des enfants pendant l’interclasse du midi, les temps périscolaires et extrascolaires. La mission principale des animateurs socioculturels est de parvenir à créer une dynamique et une cohésion de groupe. Pour cela, ils peuvent organiser des ateliers et des animations. Ils exercent leur métier dans différentes structures (centre de vacances, maison de retraite, foyers de jeunes, centre de loisirs, maisons de jeunes et de la culture, etc.) et peuvent aussi travailler sur des événements locaux, mettre en place des partenariats, gérer un service ou une structure. Ils sont en contact avec de nombreux interlocuteurs comme les travailleurs sociaux, les élus des collectivités territoriales, les entreprises, les équipes soignantes, etc. Ces activités peuvent impliquer des déplacements et un éloignement du domicile pendant plusieurs jours. En Île-de-France, cette famille professionnelle est composée en majorité « d’animateurs socioculturels et de loisirs » (près de 95%), le reste des effectifs étant « directeurs de centres socioculturels et de loisirs ».

    Les animateurs socioculturels et de loisirs organisent ou aident à organiser des activités d’intérêt social dans les domaines culturels, éducatifs, politique de la ville, de loisirs et de plein air ouvertes à toutes catégories de population. Ils peuvent aussi organiser des activités d’intérêt général de protection de la nature et de l’environnement (éducation à l’environnement, contribution au débat public, protections de sites, etc.)[1]. Ces activités peuvent aussi viser l’amélioration des relations sociales entre les membres d’une collectivité. Certains animateurs socioculturels sont spécialisés dans une activité spécifique (théâtre, musique, magie, etc.).

    Les directeurs de centres socioculturels et de loisirs dirigent des entreprises ou des institutions chargées d'élaborer et de mettre en œuvre des projets d'animation. Ils organisent des activités visant : soit à insérer socialement certaines catégories de population et à améliorer les relations sociales entre leurs membres ; soit, plus généralement, à promouvoir la vie culturelle dans une collectivité[2].

    Différentes évolutions sont possibles pour les professionnels de l’animation socioculturelle. D’abord dans le domaine de l’éducation : éducation en activités sportives, l’intervention socioéducative, l’éducation de jeunes enfants. Puis dans le domaine de la formation professionnelle et de l’enseignement artistique. Une évolution vers les métiers du conseil en emploi et insertion professionnelle est également possible, tout comme une évolution vers des métiers à dominantes de gestion, comme la gestion de l’information et de la documentation, la gestion de structures de loisirs ou d’hébergement, ou encore le management de structure de santé, sociale ou pénitentiaire.

     

    Activités principales :
    • Participation à la définition des orientations d’un projet d’animation socioculturel global
    • Concevoir des projets d’actions socioculturelles, sportives et ludiques adaptées à différents publics
    • Concevoir un projet et en négocier le financement
    • Assurer le management et l’encadrement d’une équipe
    • Mettre en œuvre les projets d’activités et en assurer le suivi
    • Animer les activités créatives, artistiques ou de loisir
    • Coordonner et encadrer les sorties culturelles ou sportives
    • Apprêter et organiser l’équipement nécessaire aux activités, sorties et ateliers
    • Effectuer une médiation entre les personnes

     

    Activités complémentaires :
    • Informer, conseiller les publics sur les mesures sociales et les orienter vers d’autres organismes
    • Veiller au respect des règles d’hygiènes et de sécurité
    • Concevoir des actions qui aident au développement de la créativité et de l'expression personnelle
    • Développer et animer les partenariats
    • Participer aux actions d'alphabétisation, conseiller les personnes en difficulté

     

  • Les secteurs concernés

    Une forte concentration dans l'administration publique
    Top 5 des secteurs d’activités employeurs
    Sources : ACOSS, Centre d’analyse stratégique. Traitement Défi métiers

    Plus de la moitié des effectifs de cette famille professionnelle se retrouve au sein du secteur de l’administration publique ; c’est plus de 10 points comparés à la France entière. En effet, une partie des actifs sont employés par les communes pour prendre en charge les temps périscolaires et extrascolaires. Ce dernier est aussi le secteur dont les perspectives d’emploi semblent les moins favorables pour les professionnels de l’animation socioculturelle. Entre 2016 et 2020, en Île de France, l’emploi salarié chez le principal employeur a reculé de 5 % notamment du fait des diminutions des subventions publiques ou encore la diminution des contrats aidés[1].

    Dans le secteur de l’hébergement médico-social, les professionnels franciliens sont sous représentés, par rapport à la France entière. En effet, ils représentent moins de la moitié de la proportion nationale.

    Par ailleurs, on retrouve ces professionnels aussi dans d’autres secteurs comme l’hébergement médico-social, l’enseignement, les activités de services et les arts, spectacles et activités récréatives. Pour ce dernier secteur, les perspectives d’emploi sont les plus favorables dans un contexte où la demande est de plus en plus forte pour ces activités d’une part, et de l’autre grâce à une exigence de plus en plus forte de professionnalisation des équipes des structures de l’animation[2].



    [2] Etude comparée des parcours professionnels : les animateurs socioculturels et les éducateurs sportifs : formation, accès à l’emploi. Rapport final, rapport réalisé par l’agence Phare, juillet 2019.

     

  • Les marchés du travail

    Caractéristiques des actifs en emploi

    Une profession plutôt jeune et majoritairement féminine
    36 164
    Actifs en
    Ile-de-France

    Répartition Homme/Femme (en %)

    Répartition H/F
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Répartition des âges (en %)

    Répartition par âge
    INSEE, Recensement de la population 2019

    L’animation socioculturelle est une profession à dominante féminine (environ 3/5ieme de femmes). En Île-de-France, cette famille professionnelle est plus jeune que la moyenne francilienne. En effet, les moins de 30 ans y représentent le double de la proportion régionale et environ un professionnel sur six est âgé de plus de 50 ans contre environ un tiers dans l’ensemble des professions. Cette profession bénéficie d’une certaine attractivité auprès des jeunes qui y trouvent souvent leur premier emploi quelle que soit leur formation [1]. Par ailleurs dans la région capitale, les professionnels y sont répartis de manière plutôt homogène du fait de la répartition des besoins pour les différents publics (enfance, personnes âgées ou personnes en situation de handicap) sur tout le territoire francilien.



    [1] Sophie Gonnard, Itto Mousset, Béatrice Pardini (dir.). Dans quels métiers s’insèrent les sortants de la voie professionnelle en Ile-de-France ? Défi métiers, collection Franciliens, septembre 2018

     

    Une majorité de professionnels a fait des études supérieures

    Niveau de diplômes (en %)

    Diplômes
    INSEE, Recensement de la population 2019

    La majorité des professionnels est titulaire d’un diplôme supérieur ou égal au bac. On retrouve une répartition à peu près équivalente chez les professionnels de moins de 30 ans mais avec une prédominance des diplômes de niveau bac. Les diplômes contribuent à limiter en partie les risques de précarité en lien avec les conditions de travail. Les métiers de l’animation sont encore souvent considérés comme des « jobs d’été » destinés aux jeunes. Mais cette représentation contraste avec le mouvement de professionnalisation des actifs engagé depuis plusieurs années[1].



    [1] Etude comparée des parcours professionnels : les animateurs socioculturels et les éducateurs sportifs : formation, accès à l’emploi. Rapport final, rapport réalisé par l’agence Phare, juillet 2019.

     

    Les conditions d’emploi marqués par des contrats majoritairement de longue durée et une persistance des situations de précarité

    Conditions d'emploi

    INSEE, Recensement de la population 2019
    37 % 14 %
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Plus de la moitié des actifs en emploi sont en CDI ou fonctionnaires (contre environ 80 % pour l’ensemble des emplois franciliens) et près de 40 % en CDD, soit près de 5 fois plus que l’ensemble des familles professionnelle en Île de France. Ces proportions sont équivalentes à l’ensemble de la France. Cela signale une certaine persistance des situations de précarité qui relèveraient de la nature des contrats (CDI ou non), des modalités de l’organisation du travail (temps complet ou partiel) et des niveaux de rémunération. Par ailleurs, une partie des actifs exercent lors des congés scolaires (petites ou grandes vacances) dans le cadre de CDD dans des colonies de vacances, par exemple. L’enquête Besoins de Main d’œuvre réalisée par Pôle emploi indique que la moitié des projets de recrutement sont saisonniers.

    Cette profession est plus concernée par le travail à temps partiel que les autres professions franciliennes. En effet, certains employeurs proposent des recrutements à temps partiel, voire quelques heures par semaine pour des ateliers à thème ou pour répondre à des besoins ponctuels dans la journée ; par exemple le matin avant l’école, les mercredi après-midi. L’activité peut s’exercer en horaire atypique, les week-ends voire de nuit. Pour une partie de ces professionnels ces emplois constituent une activité secondaire, qu’ils concilient avec d’autres activités (emploi principal, études, etc.). Pour une autre partie, les professionnels doivent alors cumuler différents emplois s’ils ne veulent pas se trouver en situation précaire[1].

    Les salaires sont peu élevés. Parmi les salariés à temps complet, au niveau national, 54 % déclarent gagner moins de 1 500 € nets par mois, et 4 % déclarent gagner plus de 3 000 €. Le salaire net médian à temps complet s'élève à 1 450 € par mois en 2017-2019[2].

     

    Caractéristiques des demandeurs d’emploi

    Un marché de l’emploi plutôt fluide
    10 390
    Demandeurs d'emploi enregistrés dans cette famille professionnelle
    Part des DE inscrits depuis plus d’un an (en%)
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021
    Taux d’écoulement
    53%
    53%
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021

    Le nombre de demandeurs d’emploi pour cette famille professionnelle est d’environ 10 000 en 2021, ce qui est significatif au vu des effectifs en Île-de-France. Pour autant, ces demandeurs d’emploi restent légèrement moins longtemps en recherche d’emploi qu’en moyenne régionale (9 mois contre 10 mois) ; les principaux secteurs employeurs étant soumis à une demande croissante de la population (diversification des publics usagers, politiques de santé publique incitatrice, etc.). Les femmes et les jeunes de moins de 30 ans sont par ailleurs surreprésentés en lien avec le part importante parmi les actifs occupés. La part des demandeurs d’emploi de plus d’un an ainsi que le taux d’écoulement de la demande sont identiques à la moyenne observée en Île de France.

    Les offres d'emploi et projets de recrutement

    Une majorité d’offres d’emploi de longue durée

    Durée des emplois proposés (en %)

    3 620
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021

    En 2021, on comptait environ 3 600 offres d’emploi de professionnel de l’animation socioculturelle en France. Environ trois-quarts de ces offres d’emploi sont de plus de six mois, ce qui est légèrement moins que la moyenne régionale. La part un peu plus importante des contrats courts de moins de six mois que la moyenne régionale peut s’expliquer par le fait que les structures employeuses (les centres de loisirs, services municipaux, centres socioculturels, etc.) s’appuient sur des contrats de vacation pour réaliser les animations périscolaires et augmenter leurs effectifs pendant la période estivale en réponse à la hausse temporaire d’activité.

    L’enquête Besoins en main-d’œuvre estime à environ 10 000 projets de recrutement dont 34 % jugés difficiles. La moitié de ces projets sont saisonniers.

     

  • Les enjeux pour la profession et leurs impacts sur les métiers

    Vers une professionnalisation des actifs
    Enjeux par dimension

    Des évolutions des politiques publiques qui impactent l’organisation de l’activité

    La profession a fait face à plusieurs évolutions qui l’ont impacté directement, comme la réforme des rythmes scolaires et son abandon par une partie des communes ou encore la loi NOTRe[1] qui a engendré la fusion de certaines activités, la rationalisation de la gestion des établissements, ainsi que le regroupement de certaines communautés de communes avec des conséquences sur l’aménagement des rythmes de vie des enfants et des jeunes, des temps scolaires et extrascolaires, etc. D’autres décisions publiques affectent le financement du secteur associatif comme la baisse des dotations globales ou plus récemment la diminution des contrats aidés.

    Pour autant, les animateurs ont mené des mouvements de grève répétés en 2021 et 2022 revendiquant : "une réelle politique de l'État", "un financement des associations", "une reconnaissance réelle par les employeurs de tous les métiers de l'éducation populaire" et "l'amélioration des conditions et de l'organisation du travail". Des Assises de l’Animation ont par ailleurs été lancées le 24 novembre 2021[2].

    Des évolutions socio-économiques qui encouragent la polyvalence

    Par ailleurs, des transformations économiques des secteurs employeurs impactent aussi l’activité professionnelle. En effet, le développement d’une logique concurrentielle avec une multiplication des appels d’offres, la réforme des marchés publics (professionnalisation nécessaire sur les appels d’offres, etc.) ont compliqué le financement de certaines structures employeuses.

    Selon une étude[3] de 2016 sur la filière animation au sein de la fonction publique territoriale, l’intervention des animateurs socioculturels et de loisirs est de plus en plus variée et ne se limite pas à l’accueil de loisir sans hébergement (centres de loisirs) pour enfants ou aux centres de vacances (colonies de vacances). Les ateliers de quartiers ou les EHPAD[4] sont également leurs employeurs. Mais dans ce contexte, la filière est traversée par des problématiques qu’elle devra résoudre prochainement :  des conditions statutaires peu attractives, l’élargissent des missions professionnelles sur le temps périscolaire, la complexification de l’intervention éducative, la précarité des conditions d’emplois des animateurs, etc. Par ailleurs, les attentes et les exigences des familles évoluent également (augmentation de la durée de garde, offre diversifiée d’activités socio-éducatives, qualité pédagogique, restauration, etc.) ; ce qui crée un besoin de renouvellement des méthodes et pratiques des professionnels, ainsi qu’une contribution à l’augmentation du temps de travail des actifs.

    Sur un autre plan, il est de plus en plus attendu des professionnels, une prise en compte dans leurs pratiques professionnelles, le développement des usages du numérique (accompagnement à l’usage des réseaux sociaux), l’accompagnement sur les principes de la protection de l’environnement, de la prévention de la violence, du harcèlement entre enfants et des radicalités.

    L’impact de la crise sanitaire

    Ces professionnels ont fait partie des salariés ou agents « de la 1ère ligne », c’est-à-dire qu’ils ont travaillé au contact des bénéficiaires, notamment pour l’accueil des enfants de soignants, policiers, etc. La crise sanitaire a eu un impact important sur l’activité quotidienne, notamment du fait des exigences professionnelles en matière d’hygiène et de prévention (lavage des mains, relevés de température, davantage d’activité en extérieur, gestion des cas contacts, etc.).



    [1] Loi portant sur la nouvelle organisation territoriale de la république.

    [2] Le Journal de l’animation

    [3] Rapport sur la filière animation, CSFPT, 2016

    [4] Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes

     

  • Les formations

    Différentes voies de formation facilitent l’accès à l’emploi
    Part des actifs de la FAP issue des différentes spécialités de formation
    INSEE, enquête emploi continue (EEC) 2018

    Différentes voies de formation facilitent l’accès à l’emploi, ou l’évolution professionnelle. Les brevets de l’animation volontaire (BAFA et BAFD) peuvent être des portes d’entrée dans le métier. Ils permettent d’encadrer à titre non professionnel et de façon occasionnelle des enfants et des adolescents en accueils collectifs de mineurs. Cependant, ils ne permettent pas un ancrage durable et professionnel dans le métier.

    Quatre diplômes d’Etat mènent aux métiers de l’animation : le certificat professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (CPJEPS)au niveau 3 (soit au niveau CAP), le brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (BPJEPS) au niveau 4 (soit niveau Bac), le diplôme d’état de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (DEJEPS) au niveau 5 (soit Bac+2) et le diplôme d’état supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport (DESJEPS) au niveau 6 (soit (Bac+3/4). D’autres diplômes délivrés par les ministères (éducation nationale, travail) permettent également l’accès au métier, tels que le diplôme d’état de moniteur-éducateur (DEME), le bac professionnel services de proximité et vie locale (SPVL), le titre professionnel d’animateurs d’activités touristiques et de loisirs ou encore le brevet d’aptitude professionnelle d’assistant animateur technicien (BAPAAT).

    Le premier certificat de qualification professionnelle (CQP) d’animateur périscolaire a été créé en 2009 pour répondre aux besoins des salariés qui entrent dans le secteur de l’animation par l’accompagnement des élèves en dehors des temps scolaires. En 2013, les partenaires sociaux ont validé le certificat de qualification professionnel (CQP) animateur danse, second diplôme de la branche. La branche de l’animation met aussi en avant le CQP animateur périscolaire, visant à professionnaliser le métier répondant à ce besoin émergeant[1].

    Un lien emploi-formation « très faible »

    L’intensité du lien entre formation et emploi exercé peut être qualifié de « très faible », compte-tenu de la diversité des formations suivies par les actifs en emploi[1]. En effet, comme mentionné précédemment, cette famille est une des principales familles d’insertion des jeunes franciliens quelle que soit leur formation préparée, des services, comme de la production.



    [1] GONNARD Sophie, OMONT Laure et BEN MEZIAN Morad, « En Ile-de-France, un lien plus faible entre la formation suivie et l'emploi exercé pour les jeunes dans les métiers peu qualifiés », Insee Analyses Ile-de-France n°49, 2016, 4p


     

  • Sources bibliographiques et de données

    Bibliographie
    • Bref, n° 321, mai 2014, BABET Charline, DARES, Portraits statistiques des métiers, 1982-2014, numéro 19, mars 2016
    • Dans quels métiers s’insèrent les sortants de la voie professionnelle en Ile-de-France ? Sophie Gonnard et Itto Mousset, sous la direction de Béatrice Pardini, Collection Franciliens, Défi Métiers, septembre 2018
    • Etude comparée des parcours professionnels : les animateurs socioculturels et les éducateurs sportifs : formation, accès à l’emploi. Rapport final, rapport réalisé par l’agence Phare, juillet 2019.
    • Rapport sur la filière animation, CNFPT, 2016. Source : https://www.csfpt.org/sites/default/files/33_-_rapport_filiere_animation__1.pdf
    • DARES. Portraits statistiques des métiers, 2022.