Mécaniciens et électroniciens de véhicules

Mécaniciens et électroniciens de véhicules

Part de l'Ile-de-France dans l'emploi national

10 %
145 928
Actifs en emploi
en France
Dont
15 298
Actifs en emploi
en Ile-de-France

Évolution des effectifs franciliens 2013-2019

-4 %

Une famille moins présente en Ile-de-France du fait de l’utilisation des transports en commun et des mobilités douces.

« Des effectifs en baisse mais des difficultés de recrutement importantes »

  • Les activités et leurs évolutions

    Ces professionnels sont chargés de rechercher, diagnostiquer et résoudre tout dysfonctionnement ou panne des systèmes mécaniques, électriques et électroniques qui équipent les véhicules.

    De nombreuses possibilités d'évolution
    Positionnement des métiers
    Source : Pôle emploi, répertoire ROME​

    La famille professionnelle des mécaniciens et électroniciens de véhicules est composée de trois intitulés métiers du Répertoire opérationnel des métiers de Pôle emploi (Rome) :

    - Maintenance d’engins de chantier, de levage, de manutention et agricoles

    - Mécanique automobile

    - Réparation de cycles, motocycles et motoculteurs de loisirs.

    Ces professionnels effectuent la maintenance de tous types de véhicules motorisés ou non (du véhicule automobile de particuliers, à la flotte de véhicules poids lourds ou militaires). Ils peuvent exercer des activités de réparation mécanique ou électronique, de contrôle technique, etc. dans des environnements très variés.

    Parmi eux, 2/3 sont des mécaniciens qualifiés en maintenance, entretien, réparation automobile et un tiers sont des artisans mécaniciens.

    Les mécaniciens et électroniciens de véhicules peuvent évoluer au long de leur carrière. Ainsi, ils peuvent changer de types de véhicule pris en charge passant du simple vélo aux appareils de motoculture ou des véhicules de transport en commun au dernier véhicule électrique. Par ailleurs, les compétences acquises en mécanique ou électronique peuvent être valorisées dans les entreprises industrielles où les pénuries de main d’œuvre sont récurrentes. Enfin, si le choix d’évolution se porte plutôt vers une sortie de l’atelier, les mécaniciens et électroniciens de véhicules peuvent s’orienter vers les fonctions commerciales ou d’encadrement.

    Un socle d’activités en commun
    • Accueillir une clientèle
    • Identifier une intervention à partir d'un dossier technique
    • Détecter les dysfonctionnements du véhicule et des équipements
    • Déterminer une solution technique de remise en état du véhicule et des équipements
    • Changer ou réparer les moteurs, boîtes de vitesse, embrayages, suspensions, démarreurs
    • Tester le véhicule et réaliser la mise au point et les réglages
    • Renseigner les supports de suivi d'intervention et transmettre les informations au service concerné
    • Veiller à l’entretien d’un outil ou du matériel, du poste de travail et des locaux
    • Assurer une maintenance de premier niveau
    De nombreuses spécificités selon l’environnement de travail
    • Évaluer les coûts d'une prestation
    • Établir un devis d'intervention
    • Évaluer les délais d'une prestation
    • Trier des composants et fluides récupérés (batterie, hydrocarbure, lubrifiants, ...) et les orienter vers les zones de traitement ou de stockage
    • Usiner des éléments ou réaliser des pièces de remplacement
    • Réaliser un dépannage sur site (terrain agricole, route, ...) ou le remorquage d'un engin (engin de chantier, machine agricole, ...)
    • Réaliser des opérations de carrosserie (débosselage, ...) ou de peinture sur un engin (cycle, motocycle, matériel de motoculture, ...)
    • Former un public à l'utilisation d'un équipement
  • Les secteurs concernés

    Des professionnels concentrés dans le secteur du commerce - réparation d’automobiles et motocycles
    Top 5 des secteurs d’activités employeurs
    Sources : ACOSS, Centre d’analyse stratégique. Traitement Défi métiers

    Les mécaniciens et électroniciens travaillent pour près des ¾ dans le secteur du commerce-réparation d’automobiles. L’évolution de ce secteur sur les 5 dernières années est plus favorable en Ile-de-France qu’à l’échelle nationale (en légère croissance de 3% tandis que la tendance est plutôt à la faible décroissance au niveau national). On retrouve par ailleurs 1 professionnel sur 10 dans le secteur du transport-entreposage.

    Les perspectives à l’horizon 2030 sont modérées dans le commerce-réparation d’automobiles. Elles sont meilleures dans le transport-entreposage. Les perspectives du commerce et de la réparation automobile sont notamment dépendantes des règlementations à venir en matière de transition écologique.

  • Les marchés du travail

    Caractéristiques des actifs en emploi

    Une famille quasi-exclusivement masculine
    15 298
    Actifs en
    Ile-de-France

    Répartition Homme/Femme (en %)

    Répartition H/F
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Répartition des âges (en %)

    Répartition par âge
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Avec 15 000 individus, les mécaniciens et électroniciens de véhicules ne représentent que 11% des professionnels à l’échelle nationale, ce qui est relativement faible au vu du poids de l’Ile-de-France en termes d’emploi. Ceci peut s’expliquer par l’usage moins important des voitures particulières pour les déplacements du quotidien. En effet, selon l’Insee[1], un tiers seulement des franciliens utilisent la voiture pour les déplacements domicile-travail contre deux tiers en province. Les effectifs ont légèrement diminué ces dernières années (-5%) tandis qu’ils stagnaient pour l’ensemble des familles professionnelles franciliennes. Cette baisse des effectifs a commencé avec la crise de 2008 et la reprise économique n’a pas eu d’effet majeur sur l’emploi de ces professionnels.

    La structure par âge des mécaniciens et électroniciens de véhicules est proche de la moyenne régionale. Plus d’un professionnel sur 5 a moins de 30 ans. Les femmes sont quasiment absentes des effectifs. Leur part est la moins importante parmi les plus jeunes où elles représentent à peine 2% des effectifs. Même si la problématique du manque de mixité est connue depuis longtemps, l’ANFA[2] peine à faire évoluer les mentalités sur le terrain.



    [1] Marie Acs, Pierre Laurent (Insee). Pour les petits trajets domicile-travail, un quart des Franciliens se déplacent à pied ou à vélo. Insee Flash Ile-de-France, n°53, janvier 2021.

    [2] L’ANFA - Association Nationale pour la Formation Automobile - est chargée par la Commission paritaire nationale de la branche des Services de l’automobile de la mise en œuvre de dispositifs relevant de sa politique nationale de formation.

     

    Le niveau Bac comme niveau requis pour les plus jeunes

    Niveau de diplômes (en %)

    Diplômes
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Comme pour la plupart des familles professionnelles, le niveau de diplôme détenu par les mécaniciens et électroniciens de véhicules augmente. On observe un basculement entre les diplômes détenus par les jeunes de moins de 30 ans et leurs ainés de plus de 50 ans. Ainsi, ces derniers détiennent pour moitié un diplôme de niveau CAP et près d’un tiers n’a aucun diplôme. Chez les plus jeunes, le niveau Bac s’impose pour environ 40% des moins de 30 ans, suivi du niveau CAP pour environ 30%.

    Cette élévation du niveau de diplôme s’explique par la technicité plus importante des véhicules. En cause : la vitesse d’évolution technologique des véhicules et des outils d’aide au diagnostic ainsi que ainsi que la durabilité variable des connaissances ou techniques en termes de diagnostic et d’intervention.

    Les mécaniciens et électroniciens de véhicules vivent plutôt en grande couronne francilienne et en Seine-Saint-Denis. Il s’agit en effet de territoires où l’usage des transports en commun ou des modes de circulations douces est moindre. Par ailleurs, l’offre de logements y est plus adaptée en termes de loyers qu’à Paris et sa proche banlieue.

    Un tiers de travailleurs indépendants

    Conditions d'emploi

    INSEE, Recensement de la population 2019
    7 % 14 %
    INSEE, Recensement de la population 2019

    Cette famille professionnelle est composée principalement d’actifs en CDI (60%), ce qui est moins important que la moyenne francilienne. Cela est dû à la part importante de non-salariés (un tiers) qui exercent leur activité pour leur propre compte. Au niveau national[1], ils exercent dans de petites structures, la moitié au sein d’entreprises de moins de 10 salariés et 30% dans des établissements de 10 à 50 salariés.

    9 mécaniciens et électroniciens de véhicules sur 10 travaillent à temps plein. Par ailleurs, au niveau national, la moitié de ces professionnels travaillent le samedi, contre 40% dans l’ensemble des actifs.

    En Ile-de-France, la part de travailleurs étrangers est relativement élevée par rapport au reste de la France. Elle l’est également pour cette famille professionnelle qui compte près de 2 actifs sur 10 d’une nationalité étrangère (contre seulement 5% en France entière).

     

    Caractéristiques des demandeurs d’emploi

    Une situation fluide sur le marché du travail
    3 474
    Demandeurs d'emploi enregistrés dans cette famille professionnelle
    Part des DE inscrits depuis plus d’un an (en%)
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021
    Taux d’écoulement
    56%
    53%
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits dans cette famille professionnelle est d’environ 3 400 en 2020. Ce nombre semble important au vu des effectifs de la famille professionnelle. Pour autant, ces professionnels restent moins longtemps en recherche d’emploi qu’en moyenne régionale (à peine 8 mois contre plus de 9 mois) La part des mécaniciens et électroniciens inscrits depuis plus d’un an à Pôle emploi est également plus faible que pour l’ensemble des familles professionnelles. Seule la situation des plus jeunes semble préoccupante. En effet, la part des demandeurs d’emploi de moins de 30 ans est nettement plus importante que leur part en emploi (environ 10 points de plus). Une hypothèse pourrait être que les employeurs privilégient les profils plus expérimentés laissant ainsi les jeunes de côté.

    Les offres d'emploi et projets de recrutement

    Des perspectives de recrutement favorables

    Durée des emplois proposés (en %)

    4 010
    DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021

    Le nombre d’offre d’emploi explique la relative fluidité du marché du travail. Elles sont, en effet, plus importantes que le nombre de demandes. On peut également supposer qu’une partie des offres d’emploi ne transitent pas par Pôle emploi. En effet, selon l’ANFA, en 2019, « le premier moyen mis en œuvre pour recruter est la mobilisation du bouche-à-oreille, du réseau, du relationnel. Il concerne près de trois quarts des établissements. La publication d’une annonce concerne près d’un recrutement sur deux[1] ». Les ¾ concernent des offres de longue durée (de plus de 6 mois). Le reste étant sur des offres plus courtes comprises entre 1 et 6 mois.

    L’enquête Besoin de main d’œuvre réalisée par Pôle emploi informe sur les perspectives de recrutement des employeurs pour l’année suivante. La dernière enquête annonce environ 1 500 projets de recrutement en Ile-de-France. Pour ceux-ci, les employeurs anticipent des difficultés pour les 2/3 des recrutements, ce qui est presque deux fois plus élevé que pour l’ensemble des métiers.

    L’observatoire de l’Anfa a cherché à comprendre à quoi étaient dues ces difficultés. La principale raison invoquée est le manque de candidat ayant le profil adapté (pour les 2/3 des établissements enquêtés), suit l’absence de candidature (pour 45% des établissements). L’Anfa note par ailleurs, une augmentation importante des établissements n’ayant reçu aucune candidature spontanée durant l’année. Pour autant, « les établissements ont bien pris la mesure des tensions existantes sur ces métiers et agissent pour réduire les difficultés à venir. Ainsi, la formation et surtout l’alternance a fortement progressé ces dernières années (+47% entre les entrées 2014 et2019), garantissant un vivier futur de personnels qualifiés[2]. »



    [1] Observatoire ANFA. Les recrutements dans la branche des services de l’automobile en 2019. Autofocus, n°86, octobre 2020.

    [2] Ibid.

     

  • Les enjeux pour la profession et leurs impacts sur les métiers

    Un environnement mouvant
    Enjeux par dimension

    Plusieurs paramètres d’évolution influent sur les activités de ces métiers[1] ; entre autres des évolutions techniques, règlementaires et sociétales.

    La fiabilité des véhicules est un élément important pour promouvoir l’achat d’un véhicule neuf ou récent. Or, plus un véhicule est fiable et moins il est nécessaire de se rendre en atelier pour des réparations couteuses. Par ailleurs, avec les véhicules de plus en plus connectés, il existe un risque de recours à un seul professionnel. Pour autant, ce recours modéré ne concerne que le parc de véhicule récent, donc une moindre part du parc français. L’impact des nouvelles technologies embarquées ne sera visible sur l’emploi que dans un temps certain[2].

    Les évolutions règlementaires

    Actuellement le territoire francilien est impacté par les mesures de restrictions de circulation de certains véhicules considérés comme très polluants. Les territoires considérés sont des Zones à faibles émissions (ZFE) … et les véhicules sont ceux porteurs d’une vignette Crit’air 4 ou 5.

    « Dans le Grand Paris, une ZFE a été mise en place au 1er juillet 2019. Le périmètre de la ZFE du Grand Paris englobe 79 communes situées à l'intérieur du périmètre de l'autoroute A86, le super-périphérique parisien. Mais seulement 47 communes se sont engagées pour le moment (…). Dans le périmètre de la ZFE du Grand Paris, seuls les véhicules non-classés et les véhicules Crit'Air 4 et Crit'Air 5 sont interdits de circulation pour le moment. Les Crit'Air 3 seront interdits en juillet 2022 alors qu'en janvier 2024, les véhicules de la catégorie Crit'Air 2 devraient être interdits dans le périmètre de la ZFE du Grand Paris. Un objectif de "100% de véhicules propres" est annoncé pour 2030[3]. » Alors que des métropoles européennes, comme Londres, restreignent l’accès des véhicules au centre-ville, il semble que Paris restreigne uniquement via la ZFE et ne prévoit pas un durcissement ou une mesure complémentaire.

    Enfin, pour encourager les particuliers à se séparer de leur véhicule thermique, le gouvernement propose une prime à la conversion pour permettre de financer un véhicule hybride ou électrique.

    Par ailleurs, le contrôle technique est uniquement obligatoire sur certains véhicules. Un élargissement aux deux-roues motorisés pourrait avoir des effets positifs et assez rapides sur l’emploi des mécaniciens, comme cela avait été le cas lors de sa mise en place pour les véhicules concernés.

    Une diminution de l’activité des mécaniciens et électroniciens de véhicules est possible du fait de ces réglementations, mais à l’inverse, elles encouragent la création d’emploi dans les ateliers de maintenance des articles de mobilité « douce » : vélo et vélo à assistance électrique, mono-roues, trottinette électriques, etc. En effet, l’économie circulaire, dont relèvent les ateliers de réparation de vélo, est en essor et souvent promut par les communes et les intercommunalités pour soutenir le commerce local. L’économie circulaire favorise la réparation, le ré-emploi pour limiter notamment le gaspillage des ressources et l'impact environnemental, et en augmentant l'efficacité à tous les stades de l'économie des produits.

    Ces différentes évolutions auront un impact sur le volume de ces professionnels, mais également sur leurs activités. Toutefois, les professionnels devront, comme dans chaque période de transition, maitriser à la fois les anciennes technologies (mécanique auto spécifique au moteur thermique) et les nouvelles (électronique embarquée, voiture connectée, etc.). Ces dernières mobilisant plus d’électronique nécessiteront pour certains professionnels d’assimiler de nouvelles connaissances et savoir-faire.



    [1] L’une des missions de l’observatoire de l’Anfa est d’analyser les évolutions des activités, de la réglementation et des secteurs. Il produit de nombreuses études à cette fin. Les éléments ci-dessous sont tirés de ces analyses dont les références se trouvent en bibliographie.

    [2] Observatoire ANFA. Prospective des besoins en recrutement de jeunes dans le commerce et la réparation automobile à l’horizon 2022. Autofocus, n°63, octobre 2016.

    [3] Zones à faibles émissions (ZFE) : quelles nouvelles villes et zones concernées ? Les dates https://www.linternaute.fr/auto/guide-pratique-auto/2227989-zones-a-faibles-emissions-zfe-quelles-villes-concernees-les-dates/#zfe-grand-paris-les-communes-concernees

     

    Des actifs moins touchés par la crise sanitaire

    Très rapidement, les professionnels de la réparation et de la maintenance de véhicules ont été déclarés comme des travailleurs essentiels et ont pu poursuivre leur activité. Activité cependant ralentie par la baisse de demande des particuliers du fait d’un recours massif au télétravail. Pour autant, le développement du commerce en ligne et de services divers de livraison à domicile reporte la charge de maintenance sur des véhicules professionnels. Ainsi, même si la demande des particuliers peut diminuer, elle pourrait être compensée par la demande des professionnels.

    Enfin, comme vu précédemment, les mécaniciens et électroniciens de véhicules recouvrent des métiers régulièrement touchés par des difficultés de recrutement. Or, ce sont des postes quasiment exclusivement occupés par des hommes. L’élévation du niveau de diplôme requis comme la transformation des activités avec moins de mécanique et plus d’électronique pourraient transformer l’image du métier et ainsi attirer plus de jeunes filles vers les filières de formation et à terme vers les métiers.

  • Les formations

    Un lien formation-métier fort
    Part des actifs de la FAP issue des différentes spécialités de formation
    INSEE, enquête emploi continue (EEC) 2018

    Le lien entre la formation suivie et le métier exercé est fort pour les mécaniciens et électroniciens de véhicules entrés sur le marché du travail depuis moins de 10 ans. En effet, parmi les jeunes actifs diplômés, plus de 80 % d’entre eux ont suivi une formation en moteurs et mécanique auto.

    Les diplômes nécessaires pour exercer ces métiers existent à plusieurs niveaux :

    - CAP Maintenance des véhicules automobiles options : véhicules particuliers, industriels, motocycles,

    - Bac pro Maintenance des véhicules automobiles options : voitures particulières ou véhicules industriels,

    - MC (mention complémentaire) Maintenance des systèmes embarqués de l'automobile,

    - CQP (certificat de qualification en 2 ans en alternance après un CAP ou le MC, équivalent au bac pro) : Technicien électronicien-électricien auto.

    - BTS Maintenance des véhicules

  • Sources bibliographiques et de données

    Bibliographie

    BEN MEZIAN Morad. Les créations d’emploi en Ile-de-France à l’horizon 2030. Défi métiers, Rapport d’études, 2012.

    DARES. Portraits statistiques de métiers

    Marie Acs, Pierre Laurent (Insee). Pour les petits trajets domicile-travail, un quart des Franciliens se déplacent à pied ou à vélo. Insee Flash Ile-de-France, n°53, janvier 2021.

    Observatoire ANFA. Les recrutements dans la branche des services de l’automobile en 2019. Autofocus, n°86, octobre 2020.

    Observatoire ANFA. Prospective des besoins en recrutement de jeunes dans le commerce et la réparation automobile à l’horizon 2022. Autofocus, n°63, octobre 2016.

    Source des données

    Outil dynamique des bassins, Défi Métiers, https://www.defi-metiers.fr
    Outil dynamique des salaires, Défi Métiers, https://www.defi-metiers.fr
    INSEE, Enquête emploi continue, année médiane 2015 
    INSEE, données du recensement, RP 2017
    DARES, traitement direccte Ile-de-France
    DARES, données de prospective par FAP87, 2018-2022
    Enquête IVA (Insertion dans la vie active), dispositif national piloté par le Ministère de l’Education Nationale et de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, données Ile-de-France via l’enquête réalisée dans le cadre d’un partenariat entre la région, les trois académies franciliennes, la DRIAAF, la DRONISEP et Défi-métiers.