Aides à domicile et aides ménagères
Part de l'Ile-de-France dans l'emploi national
en France
en Ile-de-France
Évolution des effectifs franciliens 2013-2019
Le métier d’aide à domicile : un volume d'emplois important
Une famille professionnelle en croissance
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Les activités et leurs évolutions
Ces professionnels réalisent différentes activités, centrées sur les personnes prises en charge et le leur lieu de vie. Afin d’assurer leur bien-être, ils entretiennent leur cadre de vie et les accompagnent dans la réalisation d’activités au quotidien.
Une évolution axée sur le social et le « care »Positionnement des métiersSource : Pôle emploi, répertoire ROMELes professionnels de cette famille sont rattachés aux deux activités du ROME « assistance auprès d’adultes » et « intervention sociale et familiale », centrées sur l’accompagnement d’un public fragile ou dépendant (personnes âgées, personnes handicapées). Cet accompagnement a pour objectif de favoriser le maintien dans le lieu de vie par une assistance sur le volet social (échange, stimulation…) et par le confort de la personne (hygiène corporelle, entretien du lieu de vie…).
Les frontières entre les métiers de ces deux ROME et d’autres sont parfois fines voire poreuses. Ainsi, les professionnels de la famille des « Aides à domicile, aides ménagères » peuvent également exercer de « l’accompagnement médicosocial » ou des « soins d’hygiène, de confort du patient ». Ces deux dernières activités peuvent a minima être considérées comme des spécialisations possibles, sinon comme des évolutions. En effet, elles nécessitent la possession des diplômes d’Etat d’aide-soignant ou d’aide médico-psychologique plus valorisés que les diplômes menant à la famille professionnelle des « Aides à domicile, aides ménagères » (bien que de même niveau).
Ces professionnels peuvent également réaliser des activités similaires dans des établissements hospitaliers.
D’autres évolutions sont possibles, même si elles se réalisent sur le temps long. Un aide à domicile peut ainsi se diriger vers « l’action sociale » et devenir technicien de l’intervention sociale et familiale ou, à termes, assistant de service social, via l’obtention des diplômes d’Etat rattachés à ces métiers. Une autre évolution davantage portée sur le management permettrait d’accéder au « management de structure de santé, sociale ou pénitentiaire » en tant que responsable de secteur. Ces évolutions sont cependant limitées par l’écart de qualifications entre ces différentes fonctions et la proportion restreinte d’encadrants dans ces activités.Des activités diverses centrées sur la personne accompagnée et son lieu de vieL’entretien du cadre de vie et l’accompagnement social de la personne se recoupent bien souvent et l’aide à domicile travaillant auprès d’une personne en perte d’autonomie aura un large éventail d’activités à réaliser :
- Assurer l’entretien de l’intérieur de l’habitat
- Faire les courses, les repas et éventuellement aider à l’alimentation
- Assurer une aide à l’hygiène et au confort de la personne accompagnée en cas de qualification adéquate
- Aider la personne physiquement (lever, coucher, marche) à la même condition
- Soutenir et stimuler la personne socialement et intellectuellement
- Apporter une aide administrative et organisationnelle
Des tâches plus complexes, des technologies à intégrerLes mutations actuelles et futures peuvent conduire ces professionnels à réaliser de nouvelles tâches en raison de besoins nouveaux (évolutions technologiques) ou de manque d’effectif sur des activités liées (transition démographique) :
- Accroître l’aide aux démarches administratives et organisationnelles, notamment sous forme numérique
- Réaliser des tâches d’hygiène plus complexes en cas d’absence de l’équipe paramédicale
- Assister la personne dans l’usage d’éventuelles solutions techniques (rideaux automatiques, lavabo réglable) ou domotiques (activation d’alarme en cas de sortie, suivi hydrique)
- Assurer le suivi de la personne en coordination avec les différents intervenants et proches
La réalisation de soins et de la toilette (à différencier de l’aide à la toilette) ne sont théoriquement pas du ressort des aides à domicile, même de ceux diplômés. Cependant, les difficultés de recrutement sur des métiers (aide-soignant notamment) et dans des secteurs en tension contribuent à un « glissement des tâches » les faisant réaliser quelques actes normalement réservés aux aides-soignants.
Les activités incluant l’usage des technologies et du numérique sont amenées à se développer. Sans devenir prépondérantes, elles vont cependant nécessiter un premier niveau de maîtrise dans ces domaines (utiliser une tablette, communiquer avec d’autres professionnels, aider la personne à utiliser des technologies…). -
Les secteurs concernés
Une très forte concentration des professionnels dans le médico-socialTop 5 des secteurs d’activités employeursSources : ACOSS, Centre d’analyse stratégique. Traitement Défi métiersLe secteur de « l’hébergement médico-social et social et action sociale sans hébergement » (qui englobe notamment l’aide à domicile et les Ehpad) regroupe près des ¾ des professionnels de cette famille malgré une proportion légèrement moindre qu’au niveau national. Si 90% des effectifs sont répartis au sein de cinq secteurs d’activité, cette famille professionnelle est également présente dans d’autres domaines (activités pour la santé humaine, hébergement et restauration…). Elle devrait bénéficier des fortes dynamiques du médico-social, des activités des ménages employeurs et du service à la personne (inclus dans les « autres activités de service »), qui concentrent actuellement plus de 80% de ses effectifs.
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Les marchés du travail
Caractéristiques des actifs en emploi
Des effectifs quasi-exclusivement féminins, plus âgés que la moyenne régionale60 339Actifs en
Ile-de-FranceRépartition Homme/Femme (en %)
INSEE, Recensement de la population 2019Répartition des âges (en %)
INSEE, Recensement de la population 2019On retrouve 60 000 aides à domicile et aides ménagères en Ile-de-France. Cette famille professionnelle y est sous-représentée, puisque la région n'en concentre que 12%, contre 20% de l’ensemble des actifs. La répartition des besoins en professionnels sur l’ensemble du territoire national, mais également la relative jeunesse de la région francilienne et son coût du foncier plus élevé expliqueraient cette sous-représentation.
La famille professionnelle est très largement féminine (9 sur 10, contre 1 sur 2 pour l’ensemble des actifs occupés) et se caractérise par une part importante de professionnels âgés (4 sur 10 ont 50 ans et plus, alors qu’ils sont moins de 3 sur 10 pour l’ensemble des professionnels) mais également par un manque d’attractivité auprès des moins de 30 ans, près de quatre fois moins nombreux que les « seniors » (1 sur 10 a moins de 30 ans contre 1 sur 5 pour l’ensemble des actifs occupés). Cela s’explique notamment par un nombre conséquent de professionnels en reconversion après une période de chômage ou d’inactivité (chiffres DREES, enquête école).
Un très fort taux de travail à temps partiel, un faible niveau de qualificationNiveau de diplômes (en %)
INSEE, Recensement de la population 2019Les moins de 30 ans sont bien plus diplômés que le reste des professionnels. Seulement 1/5 des professionnels de moins de 30 ans sont sans diplôme ou de niveau brevet. Près de la moitié des moins de 30 ans ont un niveau bac ou plus, contre un tiers des professionnels de la famille professionnelle. Cette différence pourrait provenir notamment de l’essor de diplômes récents comme le bac professionnel « accompagnement, soins et services à la personne » (ASSP), créé en 2011 et qui comptait 3 300 inscrits en seconde en 2018 (source : MENESR-DGESIP-DGRI / SIES). La professionnalisation à l’œuvre dans les secteurs employeurs (notamment le secteur médico-social et celui des particuliers-employeurs) explique également ces écarts sur les niveaux CAP-BEP et BAC.
La part des aides à domicile et aides ménagères travaillant à temps partiel est trois fois plus élevée que celle du reste des professionnels franciliens, du fait de la nature des activités et des secteurs (notamment celui des particuliers employeurs). Ce très fort taux est cependant inférieur à celui au niveau national. Cette différence peut provenir d’une demande de main-d’œuvre plus importante en Ile-de-France qu’ailleurs. D’autre part, la mobilité entre plusieurs employeurs/personnes prises en charge est facilitée par le réseau de transport existant et la très forte densité de population (la plus importante de France). Ces professionnels étant dans la majorité des cas amenés à travailler auprès de plusieurs personnes dans une même journée, ces deux facteurs limitent (relativement) le temps partiel. Avec huit actifs occupés sur dix en CDI, le taux de CDI est légèrement inférieur à celui des salariés franciliens, alors que la part des professionnels en CDD est presque deux fois plus élevée (un professionnel sur sept est en CDD).Une surreprésentation des actifs résidant en Seine-Saint-DenisPar rapport à l’ensemble des professionnels franciliens, ceux de cette famille professionnelle résident plus souvent en Seine-Saint-Denis et moins souvent à Paris. Leur salaire mensuel brut moyen (de 1 500€ en début de carrière à 1 800€)[1] pourrait expliquer leur plus faible présence dans les départements aux prix de l’immobilier les plus élevés (Paris et les Hauts-de-Seine dans une moindre mesure). Près des trois quarts des professionnels de la FAP travaillent cependant dans leur département de résidence.
[1] Informations obtenues via les fiches métiers de la Branche de l’aide à domicile, fiches métiers Fédésap, et les offres d’emploi sur Indeed. Voir également l'Observatoire dynamique des salaires de Défi métiers.
Une part de travailleurs étrangers particulièrement élevée au sein de cette profession, notamment dans la région franciliennePlus d’un tiers des aides à domicile sont de nationalité étrangère. Les travailleurs étrangers sont surreprésentés que ce soit par rapport aux autres familles professionnelles en Ile-de-France ou à ces mêmes professionnels au niveau national. Cela s’explique par une très forte demande de main-d’œuvre pour laquelle il n’est pas nécessaire d’avoir de certification française (pour la majorité des activités à réaliser) et par un territoire cosmopolite.
Conditions d'emploi
INSEE, Recensement de la population 201946 % 14 %INSEE, Recensement de la population 2019Caractéristiques des demandeurs d’emploi
Des demandeurs d’emploi plus âgés et diplômés que les actifs occupés16 989Demandeurs d'emploi enregistrés dans cette famille professionnellePart des DE inscrits depuis plus d’un an (en%)DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021Taux d’écoulement52%53%DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021La grande majorité des demandeurs d’emploi de cette famille professionnelle sont des femmes (en proportion légèrement plus importante que pour les actifs en emploi de la famille professionnelle). Ils sont également plus âgés que la moyenne des demandeurs d’emploi franciliens. En effet, parmi eux, la part des moins de 30 ans est plus faible que parmi l’ensemble des demandeurs d’emploi franciliens et à l’inverse celle des 50 ans ou plus y est plus élevée. Les demandeurs d’emploi liés à la famille professionnelle sont plus souvent diplômés du bac ou du supérieur que les actifs occupés, notamment chez les plus jeunes : sept demandeurs d'emploi de moins de 30 ans sur dix sont titulaires au moins du bac contre un peu moins de la moitié parmi les actifs occupés de la FAP de moins de 30 ans.
La durée moyenne de chômage de cette famille professionnelle est très proche de la moyenne régionale. Si le taux d’écoulement est quasi-identique à la moyenne. Les demandeurs d'emploi de plus de 30 ans ont cependant un taux d'écoulement légèrement plus élevé que celui de la moyenne régionale pour les demandeurs d'emploi du même âge. En effet, l’âge se révéle être moins un facteur discriminant sur ces métiers en tension que sur l’ensemble du marché du travail. Au contraire, il peut être perçu comme garantissant une plus grande expérience.Les offres d'emploi et projets de recrutement
Une très forte offre d'emploi sur le métierDurée des emplois proposés (en %)
12 048DARES, traitement drieets Ile-de-France 2021Le nombre d’offres d’emploi est légèrement supérieur au nombre de demandeurs d'emploi. Par ailleurs, les offres d’emploi ne passent pas toutes par Pôle emploi (presse spécialisée dans le médico-social, bouche à oreille…). D'après l’enquête BMO, les projets de recrutement ont fortement augmenté à partir de l'enquête 2020 (avant la pandémie de COVID), ce qui contribue à maintenir des difficultés de recrutement à un niveau important. Ainsi, toujours selon l'enquête BMO, les employeurs anticipent environ 7 recrutements difficiles sur 10 sur cette FAP depuis quelques années. Le très fort recours au temps partiel vient nuancer ce constat d’offres d’emploi ne pouvant être pourvu à cause d'un manque de main d'oeuvre (un demandeur d’emploi pouvant occuper plusieurs emplois à temps partiel). Les offres d’emploi portent sur des durées plus longues que la moyenne, avec une très large majorité d’emplois de 6 mois ou plus et un nombre marginal d’offres de moins d’un mois.
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Les enjeux pour la profession et leurs impacts sur les métiers
Au centre des problématiques des métiers, l’évolution démographique et épidémiologique, et les politiques de prises en chargeEnjeux par dimensionLes effectifs de cette famille professionnelle a augmenté considérablement ces dernières années, tendance qui devrait se prolonger vues les perspectives d’emploi très favorables dans les activités médico-social et auprès des particuliers employeurs. Leurs activités sont stimulées par le vieillissement de la population et la politique de renforcement du maintien à domicile au détriment de l’hébergement en Ehpad. Le métier d’aide à domicile a été en effet celui qui devait connaître la plus forte création d’emplois (en volume et en créations nettes comme totales) au cours de la période 2015-2022 d'après les projections de la DARES[1].
Ils devront également intégrer les technologies et solutions techniques se développant auprès des personnes fragiles (à domicile comme en institution) dans leurs activités. Bien que ces technologies puissent être un facteur de développement des aptitudes et d’évolution professionnelle, elles peuvent également devenir une barrière à l’emploi pour un public n’ayant pas toujours les connaissances nécessaires à leurs utilisations.
Les activités de la famille professionnelle sont fortement liées aux politiques publiques, qui financent en grande partie les secteurs (financement des heures d’intervention dans le médico-social, crédits d’impôts pour les particuliers employeurs, employeur public). Les évolutions de ces financements impacteraient l’emploi et les conditions de travail de ces professionnels. En effet, moins de temps financé à consacrer aux personnes accompagnées induirait l’accélération d’une cadence de travail déjà importante, au détriment de la qualité de l’intervention et de la santé du professionnel.
[1] FRANCE STRATEGIE, DARES, Les métiers en 2022, Rapport du groupe Prospective des métiers et qualifications, avril 2015, p.105
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Les formations
Des voies d’accès variées, une spécialité de formation principalePart des actifs de la FAP issue des différentes spécialités de formationINSEE, enquête emploi continue (EEC) 2018Au niveau national, 1/4 des professionnels en emploi depuis moins de 10 ans ont suivi une formation rattachée aux « spécialités plurivalentes sanitaires et sociales » et pour 1/6 d'entre eux dans le « travail social ». Ces proportions sont différentes au niveau régional. En Île-de-France, ce sont les formations du domaine du "travail social" qui sont majoritaires parmis ces professionnels. Plus d'un tiers d'entre eux a une formation de cette spécialité, et 1/7 une formation des "spécialités plurivalentes sanitaires et sociales". Les autres spécialités sont variées et pas ou peu en lien avec la famille professionnelle (formations généralistes, santé, commerce, comptabilité, secrétariat…). L’intensité qualifié de moyenne[1] du lien emploi-formation peut s’expliquer par la non-réglementation des métiers, le faible niveau de qualification demandé et par la prépondérance du "savoir-être" plutôt que du "savoir-faire" dans leurs activités. Cependant, un important resserrement de ce lien est à l’œuvre depuis une dizaine d’année[2].
[1] OMONT Laure (INSEE Ile-de-France), BEN MEZIAN MORAD, GONNARD Sophie (Défi métiers) « En Ile-de-France, un lien plus faible entre la formation suivie et l'emploi exercé pour les jeunes dans les métiers peu qualifiés », INSEE Ile-de-France Analyses, n°49, décembre 2016, p.2
[2] GONNARD Sophie, MOUSSET Itto, PARDINI Béatrice (sous la direction de) « Dans quels métiers s’insèrent les sortants de la voie professionnelle en Ile-de-France ? », Rapport d’étude, Défi métiers, septembre 2018, p.10 et 11
Un développement des formations dans une logique de professionnalisationCette famille professionnelle reste accessible sans diplôme (8% des actifs en emploi depuis moins de 10 ans en 2018) et peut permettre ainsi une (ré)insertion relativement rapide sur le marché du travail pour un grand nombre d'individus. La hausse des besoins sur des activités réglementées (notamment l’assistance auprès de personnes dépendantes) a cependant entraîné une forte professionnalisation du secteur, avec le développement des VAE et la création de titres et diplômes ad hoc.
Parmi ces derniers, le diplôme d’Etat d’Accompagnant Educatif et Social option « à domicile » (DE AES, anciennement DE AVS, niveau 3 - CAP), le Titre professionnel Assistant de Vie aux Familles (TP ADVF, niveau 3, créé en 2003) ou encore le Bac pro ASSP (niveau 4, 2011) sont les plus fréquemment rencontrés. La Branche professionnelle des salariés des particuliers employeurs dispose également de certifications de niveau 3 à destination de ces professionnels avec les titres de branche « Employé familial » et « Assistant de vie dépendance » qui vont dans le sens d’une professionnalisation des métiers précédemment évoquée. Cette politique de professionnalisation passe notamment par la formation d’actifs en emploi (d’après les chiffres de la DRJSCS, la moitié des diplômés du DE AVS l’étaient via la VAE avant sa fusion avec le DE AMP).
Les formations de secourisme (Prévention et Secours Civiques de niveau 1) ou de sécurité alimentaire (HACCP) sont également appréciées et facilitent l’insertion de professionnels non diplômés. -
Sources bibliographiques et de données
BibliographieBranche de l’aide à domicile, Fiches métiers
Chambre du Commerce et de l’Industrie de Paris Ile-de-France, Fiche métier Aide à domicile
CHUVIN Guillaume, LE FLOCH Mathieu, PARDINI Béatrice, « Impact du vieillissement de la population et l'émergence des gérontechnologies sur les professionnels du sanitaire et social en Ile-de-France », Rapport d’étude, Défi métiers, juin 2019, 151 p.
FEDESAP, fiches métiers Service à la personne
FEPEM, Rapport sectoriel du secteur des particuliers employeurs et de l’emploi à domicile, 40p.
FRANCE STRATEGIE, DARES, Les métiers en 2022, Rapport du groupe Prospective des métiers et qualifications, avril 2015, 411p.
GONNARD Sophie, MOUSSET Itto, PARDINI Béatrice (sous la direction de) « Dans quels métiers s’insèrent les sortants de la voie professionnelle en Ile-de-France ? », Rapport d’étude, Défi métiers, septembre 2018, 15p.
OMONT Laure (INSEE Ile-de-France), BEN MEZIAN MORAD, GONNARD Sophie (Défi métiers) « En Ile-de-France, un lien plus faible entre la formation suivie et l'emploi exercé pour les jeunes dans les métiers peu qualifiés », INSEE Ile-de-France Analyses, n°49, décembre 2016, 4p.
THIOUX Emmanuel (Insee Ile-de-France), BEN HADDOU-MOUSSET Itto, PARDINI Béatrice (Défi métiers), « Un tiers des salariés franciliens a changé de métier entre 2012 et 2015 », Insee Analyses Ile-de-France, n°89, novembre 2018, 4p.