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Défi métiers et le Synofdes ont fait le plein lors de la matinée qu’ils organisaient à Paris afin d’informer les prestataires des obligations afférentes à la mise en place de la certification qualité à compter du 1er janvier 2020.
Plus de 300 personnes ont rempli l’amphithéâtre du Lycée Diderot.
Si la matinée fut explicative et méthodologique, entrant dans le détail du référentiel et du process auxquels chacun devra répondre selon son activité, elle a cependant permis à tous, à travers les échanges, d’exprimer ses interrogations et parfois ses inquiétudes.
Parmi celles-ci, le besoin de s’approprier la nouvelle logique « tierce » de certification avec de nouveaux acteurs parties prenantes, le Cofrac, les certificateurs et les auditeurs ou encore, la question de la sous-traitance et de la responsabilité de l’organisme donneur d’ordre en tant qu’organisme certifié, les possibilités d’accompagnement dont les prestataires de formation pourront bénéficier.
Les intervenants ont objectivé les contraintes en les relativisant pour tous ceux qui sont labellisés ou « datadockés » puisque le référentiel unique de certification s’appuie sur les critères préexistants avec l’ajout du critère relatif à l’ancrage territorial, qui ne peut que mettre en valeur les efforts des acteurs, créateurs de lien entre leur activité et les acteurs socioéconomiques du territoire.
En tant qu’organisation professionnelle le Synofdes a rappelé les points de vigilance qu’il considérait comme légitimes au regard de l’intérêt de l’ensemble des acteurs en partageant la volonté « dédramatisante » que Défi métiers a eu à cœur de démontrer.
Pour en savoir plus, téléchargez le support de la matinée
Michel Clézio (Synofdes) et Bénédicte Garnier (Défi métiers)
Tags : Défi métiers | Synofdes | Cofrac | référentiel | certification