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Préserver, surveiller, améliorer la qualité de notre environnement et être plus économe des ressources naturelles, voici les objectifs communs portés par les professionnels de l’environnement.
Le 14 mars s’est tenu au Centre d’Information et de Documentation Jeunesse (CIDJ), dans le cadre de sa semaine de l’orientation, un temps d’information et d’échanges sur les métiers d’avenir de l’environnement animé par Catherine Gwet, responsable de la thématique développement durable à Défi métiers. Une occasion pour le réseau TEE Ile-de-France et Défi métiers de poursuivre leur collaboration technique.
Réunissant un public de jeunes, mais aussi d’adultes en reconversion professionnelle et d’acteurs de l’insertion et de l’emploi, cette rencontre a permis de diffuser les ressources complémentaires des deux structures sur les thématiques métiers, emplois et formations dans le champ de l’environnement.
Après un bref rappel sur la définition du champ concerné, les métiers de l’environnement ont été présentés ainsi qu’un état des lieux qualitatif des secteurs concernés. Ceux-ci se caractérisent par des emplois en croissance et plus résistants à la crise que l’économie nationale dans son ensemble. Malgré une grande variété de métiers, de niveaux de qualification et d’environnement de travail, les emplois dans l'environnement restent à dominante technique avec une part importante d’ouvriers, cette dimension étant aujourd’hui l’une des plus valorisables sur le marché du travail.
En Ile-de-France, de nombreuses formations initiales sont aujourd’hui consacrées, au moins en partie, à la problématique environnementale, avec un accent mis sur l’apprentissage. Au-delà de la réforme du baccalauréat professionnel, les formations de niveaux IV sont en forte progression ces dernières années. Les formations généralistes en environnement, même à un niveau de qualification de l’enseignement supérieur, ne garantissent pas toujours de débouchés professionnels.
Enfin, la formation continue se développe notamment à des fins de spécialisation pour des niveaux de qualification élevés débouchant principalement sur des activités transversales. Elle est également mobilisée dans une optique de reconversion professionnelle, sans niveau de qualification particulier, principalement dans les domaines de la biodiversité et du bois/forêt.
Entre ces deux types d’orientation, on retrouve les secteurs des déchets et de l’énergie à tous les niveaux de qualification.
La présentation s’est prolongée par des échanges fructueux avec un public particulièrement intéressé.
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Consulter les sites ressources :
www.tee-idf.net
www.lesmetiers.net
Catherine Gwet
Tags : métier vert | Défi métiers | métier de l'environnement